Flow est la première piscine publique en plein air à Bruxelles qui, si tout se passe comme prévu, accueillera un public voulu très varié à partir du 1er juillet 2021. Piscine temporaire au bord du canal à Anderlecht à l’initiative de Pool is cool et en collaboration avec Decoratelier, Art2Work, FIX, Ecoworks, Spec uloos + Variable, avec un programme culturel de KunstenFestivalDesArts, Zinnema et Cinéma Galeries. L’identité graphique part d’un panneau existant à 1km en amont du canal et propose une police libre basée sur l’ancien lettrage routier belge, avec quelques modifications exclusives. Un grand nombre de supports sont déclinés à partir de cette base brute, avec des fonctionnalités automatiques qui font littéralement plonger les six dernières lettres des titres! flow.brussels
Cet hébergeur indépendant et coopératif propose au plus grand public de reprendre en main son autonomie numérique avec des mails et un cloud personnel. Nous avons accompagné l’écriture, la communication, développé l’identité graphique, proposé l’illustratrice Lucie Castel, personnalisé deux fontes libres et produit des supports papier déclinés. nubo.coop
Page d’entrée du site pour l’administration bruxelloise qui regroupe en son sein trois administrations (urbanisme qui délivre les permis, la rénovation urbaine et le patrimoine). L’enjeu est de pouvoir s’adapter aux différentes évolutions des sous-sites urban tout en maintenant la simplicité d’un site web contemporain et de l’identité graphique minimal de l’institution. urban.brussels
Événement annuel qui s’appuie pour sa première édition sur une cartographie d’une cinquantaine de portraits de bâtiments et d’acteurs de l’architecture bruxelloise, le site a évolué vers une programmation nettement plus touffue avec un off et un système de réservation intégré et hybride, à la fois pour les architectes qui ouvrent leur espaces et pour le grand public qui les visite.archiweek.urban.brussels
À l’initiative du bureau d’urbanisme Citytools, de l’agence web Variable, du photographe Thomas Ost et de Spec uloos, le site web propose une galerie évolutive de portraits de bâtiments et d’acteurs de l’architecture bruxelloise assorties d’interviews. architecture.urban.brussels
Notre proposition débute par clarifier de manière essentielle la dénomination des institutions wallones et de ses structures associées. L’identité graphique fixe le système qui associe le coq wallon et la dénomination «Wallonie» avec les dénominations unifiées et les visuels spécifiques des diverses structures régionales. Cette communication directe et forte permet de signer sans hésitation ni confusion la présence et les actions de la Wallonie au niveau régional, national et international. Voir chartegraphique.wallonie.be. Avec Harrisson, pour le Service public de la Wallonie.
Installé dans l’ancienne Manufacture des tabacs de Morlaix (Bretagne), le SEW, projet et équipement de création, de production et de diffusion, est le fruit du regroupement associatif inédit et de la coopération de trois structures culturelles locales : Le cinéma d’art et d’essai La Salamandre, L’Entresort/Centre national et Wart. La mission consistait à développer l’identité graphique du SEW ainsi que la signalétique extérieure, dans l’espace publique (enseigne sur palissade, façade de la manufacture) et intérieure (galerie du Léon, foyer, circulation dans le bâtiment
À l’occasion du 150e anniversaire de Victor Horta, une exposition consacrée à l’Hôtel Aubecq a lieu et présente pour la première fois la façade de l’hôtel Aubecq, ce dernier ayant été détruit. C’est la première fois que cette destruction d’un côté et la conservation des éléments restants de l’autre côté, sont mis en valeur et documentés. L’objet du livre est en résonance avec cette question de l’archive. Pour l’Administration de l’aménagement du Territoire et du Logement.
Cette première occurrence de la collection Prospectus initiée par Vincent Meessen déploie son film My last life, une série de textes critiques et des vues de l’exposition qui y est reliée. Il s’agit aussi de la première apparition scénarisée de la fonte Belgika qui met en scène les bases de son mode de construction, et opère ainsi un sondage muet et empirique des incidences contemporaines de la colonialité induite par les impositions de normes et standards, héritage de la matrice rationaliste moderne.
Pour le générique et l’identité graphique du film de Vincent Meessen projeté au sein du pavillon belge à la Biennale de Venise en 2015, le système typographique Belgica-Belgika est activée en empilant deux de ses potentielles occurences.
Exposition de Vincent Meessen au Wiels, Bruxelles. Un labyrinthe insulaire qui prend pour point de départ le projet avorté de l’Internationale situationniste de construire une ville expérimentale sur une île inhabitée au large de l’Italie. Ce travail de Vincent Meessen convoque, comme de nombreux autres, agencement spatial, typographie en liaison avec écriture, images perdues ou morcelées et à leur écho dans le présent, ready-made graphique et rééditions, diagrammes.
L’Expo 58 a marqué la mémoire collective des Belges. La Belgique nage en plein bonheur, elle accueille le monde à bras ouverts et rêve à des lendemains qui chantent. Sous les signes de paix et de liberté, on se pense en citoyen du monde. Tout devient possible et plus rien ne sera jamais plus comme avant! 50 ans plus tard, un Pavillon éphémère, léger et surprenant, s’installe en face de l’Atomium. Erigé avec 40 000 bacs de bière, selon un principe constructif qui en fait un bâtiment universel et démontable, le Pavillon accueille une exposition-spectacle, une invitation à se repérer dans l’histoire et à se projeter dans un avenir «vivable et durable». En collaboration avec V+.
Le travail a commencé avec la recherche d’un nom pour la galerie et c’est ce dernier qui est au centre de l’identité. Les 5 «e» sont supprimés du nom mais repris comme éléments graphiques, les agrafes des newsletters forment par exemple un «e». Ces newsletters composent au fil des mois et desannées un livre, d’environ 500 pages à ce jour. La logique de la white box est défiée dans l’imprimé blanc par une couleur emprisonnée dans la marge.
Catalogue réalisé dans le cadre de l’exposition de Daniel Firman au Musée d’art contemporain de Lyon. Basé sur le format et le type de reliure de la collection du musée, la collaboration avec l’artiste nous amène à concevoir une articulation tendue entre un corpus de textes et références composées avec une typographie universitaire d’une part et de pleines pages en logique quasi magazine d’autres part. Pour la Galerie Perrotin, et le MAC Lyon
Les petits agendas des Brussels Art Days se donnent à lire comme une cartographie personnelle annotée de la trentaine de galeries bruxelloises.
La publication offre un état des lieux de la situation de l’architecture 2000-2010 en Wallonie et à Bruxelles, cinq ans après la publication du Livre blanc de l’architecture en Communauté française de Belgique. Avec une maquette double, ce livre est l’occasion de dessiner la fonte Fluxisch Else, obtenue à partir de la numérisation de photocomposition optique par des machines IBM bon marché. Pour la cellule architecture du Ministère de la Communauté Française.
Ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de se plonger dans les délices de la typographie des journaux de Sud Presse! Le Bienvenu, journal tiré à 100 000 exemplaires en distribution un peu partout en Belgique. À commander et à lire sur lebienvenu.be.
Suite à une enquête, Amnesty International a dégagé une approche spécifique et neuve pour tenter de soutenir ceux qui hésitent vis-à-vis d’un accueil favorable aux migrants. Pour répondre à cet enjeu, nous avons proposé une maquette qui, en respectant strictement l’identité graphique de l’organisation, vienne en rupture avec son ton habituel. Des questions dures sont posées, et les réponses claquent d’abord sur les faits, pointant de manière opiniâtre chacun des clichés à démonter. Puis le sens du livret bascule littéralement, comme on l’espère la lecture de la migration chez le lecteur.
Cette publication de 32 pages destinée à être encartée comme supplément au journal la Libre tente un grand écart entre une publication photographique assumée comme artistique, et où les images peuvent être regardées sans suivre les injonctions d’une légende et une brochure de photoreportage répondant aux exigences documentaires de cette discipline. Tous les choix de maquette ont été orienté dans ce sens, ainsi que toutes les négociations avec d’Amnesty International et les photographes du collectif Huma.